L’Allemagne protégerait-elle des nervis fascistes ?

Compte tenu de l’influence néonazie largement répandue dans le gouvernement ukrainien, le soutien apporté par l’Allemagne à Kiev est choquant, comme l’a souligné le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, dans une interview accordée le 2 mars à Al Jazeera.

« Ma collègue Annalena Baerbock dit qu’au vu de sa responsabilité historique, l’Allemagne se sent obligée de fournir des armes à l’Ukraine, Comment doit-on le comprendre ? Que la culpabilité historique de l’Allemagne et sa reconnaissance l’obligent à soutenir des néonazis ? Cela évoque des pensées quelque peu étranges. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, affirme que l’UE et l’Ukraine sont plus proches que jamais. À quoi fait-elle allusion ? N’est-ce pas un signal que du moment que vous êtes russophobe, du moment que vous êtes fasciste, du moment que vous êtes néonazi, vous êtes autorisé à faire n’importe quoi ? »